Un autre sujet d’actualité fréquemment évoqué au cours de derniers jours concerne l’actualité bouillonnante en France. Un soi-disant « leader » des « gilets jaunes », un camionneur, a été arrêté.
En Allemagne, Sarah Wagenknecht (représentante de la gauche au Bundestag) est apparue dans un gilet jaune et a appelé tout le monde à sortir dans les rues pour soutenir les français. Est-ce que cela signifie que les « dormant » (rappelons, que « sleepers » est le programme des services spéciaux étrangers, qui implique l’utilisation des agents précédemment introduits dans les structures d’État et des grandes entreprises, en attente d’une commande en mode « veille » pour passer aux actions actives) veulent faire exploser l’Allemagne?»
Non, ce ne sont pas les « dormant ». C’est l’« élite » locale américaine qui essaie d’utiliser tout mécanisme (partout où c’est possible) pour créer ce mouvement de « gilets jaunes ». Mais il n’était pas préparé, il se base sur peu d’éléments, avec, en plus, une opposition très sérieuse de la part de l’élite globale, et donc les gilets se dégonflent petit à petit partout en France.
Moins les personnes sortent sur ces manifestations, plus l’organisation de ces gens devient visible: qui les dirige, comment ils se déplacent, comment tous ces pogroms sont organisés. Tous ces organisateurs n’étaient pas si visibles dans la foule, or maintenant il est clair que ce ne sont pas des camionneurs qui mènent les foules habillées en gilets jaunes, que c’est une structure très sérieuse qui a conduit ces gens, une structure ayant différents liens, coordonnant leurs mouvements.
Et les camionneurs… Eh bien, un homme qui s’est montré trop actif a été déclaré coupable, et maintenant on peut tout mettre sur lui pour cacher la structure qui a organisé les manifestations.
Ce n’est pas seulement en Allemagne, que la tentative de lancer les « gilets jaunes » a été faite. Les premières tentatives similaires ont été lancées en Belgique. Cela est arrivé jusqu’à l’Israël qui se trouve bien loin de l’Europe. Rien n’a fonctionné. Rappelons que les « élites » globales n’ont pas de mécanismes de gouvernance structurée à portée de main. Toutefois, en gouvernant à partir du niveau conceptuel et idéologique, elles rejouent toujours les « élites » locales qui gouvernent à travers les mécanismes structurés, organisationnels. Cela est possible grâce au fait qu’il y a également les représentants de l’élite globale qui travaillent dans ces mêmes organisations structurées, et qu’ils exercent une gouvernance plus large, qui intègre tous les pays et les peuples dans leur gouvernance globale. De plus, les mécanismes qu’ils trouvent pour la gestion et l’élimination d’un phénomène sont toujours élaborés selon les besoins, et, en général, de manière assez créative.
